Les autorités du rugby australiennes étudient un assouplissement des règles imposées aux joueurs engagés par des clubs étrangers et qui les empêchent de jouer pour les Wallabies, a indiqué un responsable dimanche.
Selon la « Giteau’s Law », introduite en 2015, les joueurs australiens engagés par des clubs à l’étranger ne peuvent revêtir le maillot de l’équipe nationale que s’ils comptent au moins 60 sélections et ont joué au moins sept saisons pour une franchise australienne du Super Rugby.
L’augmentation du nombre de joueurs optant pour aller jouer à l’étranger, notamment en Europe mais aussi au Japon, vient toutefois la remettre en cause.
Les Wallabies, emmenés par le sélectionneur Dave Rennie, ont été battus 33-25 puis 57-22 par les All Blacks ce mois-ci.
Andy Marinos, responsable de Rugby Australia, juge en conséquence qu’il faut désormais revoir la règle en vigueur pour se rapprocher de celle adoptée par les autres nations du rugby.
« Ils peuvent utiliser leurs meilleurs joueurs où qu’ils jouent », a-t-il déclaré au Sydney Morning Herald. « Dans notre cas, nous devons étudier leur éligibilité. Je ne dis pas que cela va faire une énorme différence mais cela apportera certainement beaucoup plus d’expérience et de profondeur dans le jeu ».
Marinos était responsable du rugby sud-africain lorsque ce pays a décidé de supprimer une règle similaire à celle appliquée actuellement en Australie. Les Springboks sont champions du monde en titre.
« Je ne dis pas que ce qui a marché en Afrique du Sud est la recette pour ici mais nous devons étudier les règles d’éligibilité pour s’assurer d’avoir les meilleurs joueurs disponibles quand c’est nécessaire », a-t-il ajouté.
Selon le journal, une modification à l’étude serait de réduire à 15 ou 20 le nombre de sélections minimum pour être éligible. Une autre serait d’autoriser le sélectionneur à choisir plus de deux joueurs engagés à l’étranger.
Des joueurs comme Rory Arnold, Will Skelton, Tolu Latu, Samu Kerevi et Sean McMahon pourraient ainsi être sélectionnés alors qu’ils ne répondent pas actuellement au critère de 60 sélections.
Des changements feraient toutefois courir le risque d’abaisser le niveau des franchises australiennes en Super Rugby, le championnat de l’hémisphère Sud, en encourageant davantage de joueurs à quitter l’Australie pour obtenir des contrats plus lucratifs.
« Ce n’est pas toute la réponse mais cela fait partie d’une vue d’ensemble du jeu et de ce que nous devons faire pour y répondre », a souligné Andy Marinos.
Les autorités du rugby australiennes étudient un assouplissement des règles imposées aux joueurs engagés par des clubs étrangers et qui les empêchent de jouer pour les Wallabies, a indiqué un responsable dimanche.
Selon la « Giteau’s Law », introduite en 2015, les joueurs australiens engagés par des clubs à l’étranger ne peuvent revêtir le maillot de l’équipe nationale que s’ils comptent au moins 60 sélections et ont joué au moins sept saisons pour une franchise australienne du Super Rugby.
L’augmentation du nombre de joueurs optant pour aller jouer à l’étranger, notamment en Europe mais aussi au Japon, vient toutefois la remettre en cause.
Les Wallabies, emmenés par le sélectionneur Dave Rennie, ont été battus 33-25 puis 57-22 par les All Blacks ce mois-ci.
Andy Marinos, responsable de Rugby Australia, juge en conséquence qu’il faut désormais revoir la règle en vigueur pour se rapprocher de celle adoptée par les autres nations du rugby.
« Ils peuvent utiliser leurs meilleurs joueurs où qu’ils jouent », a-t-il déclaré au Sydney Morning Herald. « Dans notre cas, nous devons étudier leur éligibilité. Je ne dis pas que cela va faire une énorme différence mais cela apportera certainement beaucoup plus d’expérience et de profondeur dans le jeu ».
Marinos était responsable du rugby sud-africain lorsque ce pays a décidé de supprimer une règle similaire à celle appliquée actuellement en Australie. Les Springboks sont champions du monde en titre.
« Je ne dis pas que ce qui a marché en Afrique du Sud est la recette pour ici mais nous devons étudier les règles d’éligibilité pour s’assurer d’avoir les meilleurs joueurs disponibles quand c’est nécessaire », a-t-il ajouté.
Selon le journal, une modification à l’étude serait de réduire à 15 ou 20 le nombre de sélections minimum pour être éligible. Une autre serait d’autoriser le sélectionneur à choisir plus de deux joueurs engagés à l’étranger.
Des joueurs comme Rory Arnold, Will Skelton, Tolu Latu, Samu Kerevi et Sean McMahon pourraient ainsi être sélectionnés alors qu’ils ne répondent pas actuellement au critère de 60 sélections.
Des changements feraient toutefois courir le risque d’abaisser le niveau des franchises australiennes en Super Rugby, le championnat de l’hémisphère Sud, en encourageant davantage de joueurs à quitter l’Australie pour obtenir des contrats plus lucratifs.
« Ce n’est pas toute la réponse mais cela fait partie d’une vue d’ensemble du jeu et de ce que nous devons faire pour y répondre », a souligné Andy Marinos.
Les autorités du rugby australiennes étudient un assouplissement des règles imposées aux joueurs engagés par des clubs étrangers et qui les empêchent de jouer pour les Wallabies, a indiqué un responsable dimanche.
Selon la « Giteau’s Law », introduite en 2015, les joueurs australiens engagés par des clubs à l’étranger ne peuvent revêtir le maillot de l’équipe nationale que s’ils comptent au moins 60 sélections et ont joué au moins sept saisons pour une franchise australienne du Super Rugby.
L’augmentation du nombre de joueurs optant pour aller jouer à l’étranger, notamment en Europe mais aussi au Japon, vient toutefois la remettre en cause.
Les Wallabies, emmenés par le sélectionneur Dave Rennie, ont été battus 33-25 puis 57-22 par les All Blacks ce mois-ci.
Andy Marinos, responsable de Rugby Australia, juge en conséquence qu’il faut désormais revoir la règle en vigueur pour se rapprocher de celle adoptée par les autres nations du rugby.
« Ils peuvent utiliser leurs meilleurs joueurs où qu’ils jouent », a-t-il déclaré au Sydney Morning Herald. « Dans notre cas, nous devons étudier leur éligibilité. Je ne dis pas que cela va faire une énorme différence mais cela apportera certainement beaucoup plus d’expérience et de profondeur dans le jeu ».
Marinos était responsable du rugby sud-africain lorsque ce pays a décidé de supprimer une règle similaire à celle appliquée actuellement en Australie. Les Springboks sont champions du monde en titre.
« Je ne dis pas que ce qui a marché en Afrique du Sud est la recette pour ici mais nous devons étudier les règles d’éligibilité pour s’assurer d’avoir les meilleurs joueurs disponibles quand c’est nécessaire », a-t-il ajouté.
Selon le journal, une modification à l’étude serait de réduire à 15 ou 20 le nombre de sélections minimum pour être éligible. Une autre serait d’autoriser le sélectionneur à choisir plus de deux joueurs engagés à l’étranger.
Des joueurs comme Rory Arnold, Will Skelton, Tolu Latu, Samu Kerevi et Sean McMahon pourraient ainsi être sélectionnés alors qu’ils ne répondent pas actuellement au critère de 60 sélections.
Des changements feraient toutefois courir le risque d’abaisser le niveau des franchises australiennes en Super Rugby, le championnat de l’hémisphère Sud, en encourageant davantage de joueurs à quitter l’Australie pour obtenir des contrats plus lucratifs.
« Ce n’est pas toute la réponse mais cela fait partie d’une vue d’ensemble du jeu et de ce que nous devons faire pour y répondre », a souligné Andy Marinos.
Les autorités du rugby australiennes étudient un assouplissement des règles imposées aux joueurs engagés par des clubs étrangers et qui les empêchent de jouer pour les Wallabies, a indiqué un responsable dimanche.
Selon la « Giteau’s Law », introduite en 2015, les joueurs australiens engagés par des clubs à l’étranger ne peuvent revêtir le maillot de l’équipe nationale que s’ils comptent au moins 60 sélections et ont joué au moins sept saisons pour une franchise australienne du Super Rugby.
L’augmentation du nombre de joueurs optant pour aller jouer à l’étranger, notamment en Europe mais aussi au Japon, vient toutefois la remettre en cause.
Les Wallabies, emmenés par le sélectionneur Dave Rennie, ont été battus 33-25 puis 57-22 par les All Blacks ce mois-ci.
Andy Marinos, responsable de Rugby Australia, juge en conséquence qu’il faut désormais revoir la règle en vigueur pour se rapprocher de celle adoptée par les autres nations du rugby.
« Ils peuvent utiliser leurs meilleurs joueurs où qu’ils jouent », a-t-il déclaré au Sydney Morning Herald. « Dans notre cas, nous devons étudier leur éligibilité. Je ne dis pas que cela va faire une énorme différence mais cela apportera certainement beaucoup plus d’expérience et de profondeur dans le jeu ».
Marinos était responsable du rugby sud-africain lorsque ce pays a décidé de supprimer une règle similaire à celle appliquée actuellement en Australie. Les Springboks sont champions du monde en titre.
« Je ne dis pas que ce qui a marché en Afrique du Sud est la recette pour ici mais nous devons étudier les règles d’éligibilité pour s’assurer d’avoir les meilleurs joueurs disponibles quand c’est nécessaire », a-t-il ajouté.
Selon le journal, une modification à l’étude serait de réduire à 15 ou 20 le nombre de sélections minimum pour être éligible. Une autre serait d’autoriser le sélectionneur à choisir plus de deux joueurs engagés à l’étranger.
Des joueurs comme Rory Arnold, Will Skelton, Tolu Latu, Samu Kerevi et Sean McMahon pourraient ainsi être sélectionnés alors qu’ils ne répondent pas actuellement au critère de 60 sélections.
Des changements feraient toutefois courir le risque d’abaisser le niveau des franchises australiennes en Super Rugby, le championnat de l’hémisphère Sud, en encourageant davantage de joueurs à quitter l’Australie pour obtenir des contrats plus lucratifs.
« Ce n’est pas toute la réponse mais cela fait partie d’une vue d’ensemble du jeu et de ce que nous devons faire pour y répondre », a souligné Andy Marinos.
Les autorités du rugby australiennes étudient un assouplissement des règles imposées aux joueurs engagés par des clubs étrangers et qui les empêchent de jouer pour les Wallabies, a indiqué un responsable dimanche.
Selon la « Giteau’s Law », introduite en 2015, les joueurs australiens engagés par des clubs à l’étranger ne peuvent revêtir le maillot de l’équipe nationale que s’ils comptent au moins 60 sélections et ont joué au moins sept saisons pour une franchise australienne du Super Rugby.
L’augmentation du nombre de joueurs optant pour aller jouer à l’étranger, notamment en Europe mais aussi au Japon, vient toutefois la remettre en cause.
Les Wallabies, emmenés par le sélectionneur Dave Rennie, ont été battus 33-25 puis 57-22 par les All Blacks ce mois-ci.
Andy Marinos, responsable de Rugby Australia, juge en conséquence qu’il faut désormais revoir la règle en vigueur pour se rapprocher de celle adoptée par les autres nations du rugby.
« Ils peuvent utiliser leurs meilleurs joueurs où qu’ils jouent », a-t-il déclaré au Sydney Morning Herald. « Dans notre cas, nous devons étudier leur éligibilité. Je ne dis pas que cela va faire une énorme différence mais cela apportera certainement beaucoup plus d’expérience et de profondeur dans le jeu ».
Marinos était responsable du rugby sud-africain lorsque ce pays a décidé de supprimer une règle similaire à celle appliquée actuellement en Australie. Les Springboks sont champions du monde en titre.
« Je ne dis pas que ce qui a marché en Afrique du Sud est la recette pour ici mais nous devons étudier les règles d’éligibilité pour s’assurer d’avoir les meilleurs joueurs disponibles quand c’est nécessaire », a-t-il ajouté.
Selon le journal, une modification à l’étude serait de réduire à 15 ou 20 le nombre de sélections minimum pour être éligible. Une autre serait d’autoriser le sélectionneur à choisir plus de deux joueurs engagés à l’étranger.
Des joueurs comme Rory Arnold, Will Skelton, Tolu Latu, Samu Kerevi et Sean McMahon pourraient ainsi être sélectionnés alors qu’ils ne répondent pas actuellement au critère de 60 sélections.
Des changements feraient toutefois courir le risque d’abaisser le niveau des franchises australiennes en Super Rugby, le championnat de l’hémisphère Sud, en encourageant davantage de joueurs à quitter l’Australie pour obtenir des contrats plus lucratifs.
« Ce n’est pas toute la réponse mais cela fait partie d’une vue d’ensemble du jeu et de ce que nous devons faire pour y répondre », a souligné Andy Marinos.
Les autorités du rugby australiennes étudient un assouplissement des règles imposées aux joueurs engagés par des clubs étrangers et qui les empêchent de jouer pour les Wallabies, a indiqué un responsable dimanche.
Selon la « Giteau’s Law », introduite en 2015, les joueurs australiens engagés par des clubs à l’étranger ne peuvent revêtir le maillot de l’équipe nationale que s’ils comptent au moins 60 sélections et ont joué au moins sept saisons pour une franchise australienne du Super Rugby.
L’augmentation du nombre de joueurs optant pour aller jouer à l’étranger, notamment en Europe mais aussi au Japon, vient toutefois la remettre en cause.
Les Wallabies, emmenés par le sélectionneur Dave Rennie, ont été battus 33-25 puis 57-22 par les All Blacks ce mois-ci.
Andy Marinos, responsable de Rugby Australia, juge en conséquence qu’il faut désormais revoir la règle en vigueur pour se rapprocher de celle adoptée par les autres nations du rugby.
« Ils peuvent utiliser leurs meilleurs joueurs où qu’ils jouent », a-t-il déclaré au Sydney Morning Herald. « Dans notre cas, nous devons étudier leur éligibilité. Je ne dis pas que cela va faire une énorme différence mais cela apportera certainement beaucoup plus d’expérience et de profondeur dans le jeu ».
Marinos était responsable du rugby sud-africain lorsque ce pays a décidé de supprimer une règle similaire à celle appliquée actuellement en Australie. Les Springboks sont champions du monde en titre.
« Je ne dis pas que ce qui a marché en Afrique du Sud est la recette pour ici mais nous devons étudier les règles d’éligibilité pour s’assurer d’avoir les meilleurs joueurs disponibles quand c’est nécessaire », a-t-il ajouté.
Selon le journal, une modification à l’étude serait de réduire à 15 ou 20 le nombre de sélections minimum pour être éligible. Une autre serait d’autoriser le sélectionneur à choisir plus de deux joueurs engagés à l’étranger.
Des joueurs comme Rory Arnold, Will Skelton, Tolu Latu, Samu Kerevi et Sean McMahon pourraient ainsi être sélectionnés alors qu’ils ne répondent pas actuellement au critère de 60 sélections.
Des changements feraient toutefois courir le risque d’abaisser le niveau des franchises australiennes en Super Rugby, le championnat de l’hémisphère Sud, en encourageant davantage de joueurs à quitter l’Australie pour obtenir des contrats plus lucratifs.
« Ce n’est pas toute la réponse mais cela fait partie d’une vue d’ensemble du jeu et de ce que nous devons faire pour y répondre », a souligné Andy Marinos.
Les autorités du rugby australiennes étudient un assouplissement des règles imposées aux joueurs engagés par des clubs étrangers et qui les empêchent de jouer pour les Wallabies, a indiqué un responsable dimanche.
Selon la « Giteau’s Law », introduite en 2015, les joueurs australiens engagés par des clubs à l’étranger ne peuvent revêtir le maillot de l’équipe nationale que s’ils comptent au moins 60 sélections et ont joué au moins sept saisons pour une franchise australienne du Super Rugby.
L’augmentation du nombre de joueurs optant pour aller jouer à l’étranger, notamment en Europe mais aussi au Japon, vient toutefois la remettre en cause.
Les Wallabies, emmenés par le sélectionneur Dave Rennie, ont été battus 33-25 puis 57-22 par les All Blacks ce mois-ci.
Andy Marinos, responsable de Rugby Australia, juge en conséquence qu’il faut désormais revoir la règle en vigueur pour se rapprocher de celle adoptée par les autres nations du rugby.
« Ils peuvent utiliser leurs meilleurs joueurs où qu’ils jouent », a-t-il déclaré au Sydney Morning Herald. « Dans notre cas, nous devons étudier leur éligibilité. Je ne dis pas que cela va faire une énorme différence mais cela apportera certainement beaucoup plus d’expérience et de profondeur dans le jeu ».
Marinos était responsable du rugby sud-africain lorsque ce pays a décidé de supprimer une règle similaire à celle appliquée actuellement en Australie. Les Springboks sont champions du monde en titre.
« Je ne dis pas que ce qui a marché en Afrique du Sud est la recette pour ici mais nous devons étudier les règles d’éligibilité pour s’assurer d’avoir les meilleurs joueurs disponibles quand c’est nécessaire », a-t-il ajouté.
Selon le journal, une modification à l’étude serait de réduire à 15 ou 20 le nombre de sélections minimum pour être éligible. Une autre serait d’autoriser le sélectionneur à choisir plus de deux joueurs engagés à l’étranger.
Des joueurs comme Rory Arnold, Will Skelton, Tolu Latu, Samu Kerevi et Sean McMahon pourraient ainsi être sélectionnés alors qu’ils ne répondent pas actuellement au critère de 60 sélections.
Des changements feraient toutefois courir le risque d’abaisser le niveau des franchises australiennes en Super Rugby, le championnat de l’hémisphère Sud, en encourageant davantage de joueurs à quitter l’Australie pour obtenir des contrats plus lucratifs.
« Ce n’est pas toute la réponse mais cela fait partie d’une vue d’ensemble du jeu et de ce que nous devons faire pour y répondre », a souligné Andy Marinos.
Les autorités du rugby australiennes étudient un assouplissement des règles imposées aux joueurs engagés par des clubs étrangers et qui les empêchent de jouer pour les Wallabies, a indiqué un responsable dimanche.
Selon la « Giteau’s Law », introduite en 2015, les joueurs australiens engagés par des clubs à l’étranger ne peuvent revêtir le maillot de l’équipe nationale que s’ils comptent au moins 60 sélections et ont joué au moins sept saisons pour une franchise australienne du Super Rugby.
L’augmentation du nombre de joueurs optant pour aller jouer à l’étranger, notamment en Europe mais aussi au Japon, vient toutefois la remettre en cause.
Les Wallabies, emmenés par le sélectionneur Dave Rennie, ont été battus 33-25 puis 57-22 par les All Blacks ce mois-ci.
Andy Marinos, responsable de Rugby Australia, juge en conséquence qu’il faut désormais revoir la règle en vigueur pour se rapprocher de celle adoptée par les autres nations du rugby.
« Ils peuvent utiliser leurs meilleurs joueurs où qu’ils jouent », a-t-il déclaré au Sydney Morning Herald. « Dans notre cas, nous devons étudier leur éligibilité. Je ne dis pas que cela va faire une énorme différence mais cela apportera certainement beaucoup plus d’expérience et de profondeur dans le jeu ».
Marinos était responsable du rugby sud-africain lorsque ce pays a décidé de supprimer une règle similaire à celle appliquée actuellement en Australie. Les Springboks sont champions du monde en titre.
« Je ne dis pas que ce qui a marché en Afrique du Sud est la recette pour ici mais nous devons étudier les règles d’éligibilité pour s’assurer d’avoir les meilleurs joueurs disponibles quand c’est nécessaire », a-t-il ajouté.
Selon le journal, une modification à l’étude serait de réduire à 15 ou 20 le nombre de sélections minimum pour être éligible. Une autre serait d’autoriser le sélectionneur à choisir plus de deux joueurs engagés à l’étranger.
Des joueurs comme Rory Arnold, Will Skelton, Tolu Latu, Samu Kerevi et Sean McMahon pourraient ainsi être sélectionnés alors qu’ils ne répondent pas actuellement au critère de 60 sélections.
Des changements feraient toutefois courir le risque d’abaisser le niveau des franchises australiennes en Super Rugby, le championnat de l’hémisphère Sud, en encourageant davantage de joueurs à quitter l’Australie pour obtenir des contrats plus lucratifs.
« Ce n’est pas toute la réponse mais cela fait partie d’une vue d’ensemble du jeu et de ce que nous devons faire pour y répondre », a souligné Andy Marinos.
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