L’Australien Richie Porte a confié savourer le « rêve absolu » qu’est son podium sur le Tour de France samedi après « tous les drames » sur son chemin, en particulier en 2017 quand il avait dû abandonner la Grande boucle après une chute lors de la 9e étape qui l’avait laissé avec deux fractures.
Q: Pensiez-vous pouvoir renverser Miguel Angel Lopez ?
R: On a toujours des doutes. C’est un super coureur. Les deux Slovènes sont sur une autre planète mais ça a été une belle bataille entre Lopez, Mikel Landa et moi. J’étais confiant dans le fait de le dépasser lors du contre-la-montre même si j’avais des doutes persistants dans un coin de ma tête. J’avais une bonne équipe autour de moi et ils avaient confiance en moi. Mads Pedersen a été incroyable, il croyait probablement plus en moi que moi-même. Tous les soirs, il venait dans ma chambre pour me dire de suivre sa roue et que tout se passerait bien.
Q: Le moment est-il encore plus particulier avec la naissance pendant le Tour de votre fille, que vous avez manquée ?
R: Quand mon fils est né il y a deux ans, c’était sans doute pire puisque j’ai passé deux nuits avec lui puis j’ai dû m’en aller. Cette fois, quand le coronavirus a fait son apparition et que le Tour a été décalé, je me suis dit +c’est tout moi, avec la chance que j’ai, je vais manquer la naissance+. Mais ma femme m’a dit d’aller sur le Tour. La seule chose qu’elle m’a dit est que si elle me voyait à l’arrière du peloton, elle serait vraiment énervée.
Propos recueillis en conférence de presse
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L’Australien Richie Porte a confié savourer le « rêve absolu » qu’est son podium sur le Tour de France samedi après « tous les drames » sur son chemin, en particulier en 2017 quand il avait dû abandonner la Grande boucle après une chute lors de la 9e étape qui l’avait laissé avec deux fractures.
Q: Pensiez-vous pouvoir renverser Miguel Angel Lopez ?
R: On a toujours des doutes. C’est un super coureur. Les deux Slovènes sont sur une autre planète mais ça a été une belle bataille entre Lopez, Mikel Landa et moi. J’étais confiant dans le fait de le dépasser lors du contre-la-montre même si j’avais des doutes persistants dans un coin de ma tête. J’avais une bonne équipe autour de moi et ils avaient confiance en moi. Mads Pedersen a été incroyable, il croyait probablement plus en moi que moi-même. Tous les soirs, il venait dans ma chambre pour me dire de suivre sa roue et que tout se passerait bien.
Q: Le moment est-il encore plus particulier avec la naissance pendant le Tour de votre fille, que vous avez manquée ?
R: Quand mon fils est né il y a deux ans, c’était sans doute pire puisque j’ai passé deux nuits avec lui puis j’ai dû m’en aller. Cette fois, quand le coronavirus a fait son apparition et que le Tour a été décalé, je me suis dit +c’est tout moi, avec la chance que j’ai, je vais manquer la naissance+. Mais ma femme m’a dit d’aller sur le Tour. La seule chose qu’elle m’a dit est que si elle me voyait à l’arrière du peloton, elle serait vraiment énervée.
Propos recueillis en conférence de presse
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L’Australien Richie Porte a confié savourer le « rêve absolu » qu’est son podium sur le Tour de France samedi après « tous les drames » sur son chemin, en particulier en 2017 quand il avait dû abandonner la Grande boucle après une chute lors de la 9e étape qui l’avait laissé avec deux fractures.
Q: Pensiez-vous pouvoir renverser Miguel Angel Lopez ?
R: On a toujours des doutes. C’est un super coureur. Les deux Slovènes sont sur une autre planète mais ça a été une belle bataille entre Lopez, Mikel Landa et moi. J’étais confiant dans le fait de le dépasser lors du contre-la-montre même si j’avais des doutes persistants dans un coin de ma tête. J’avais une bonne équipe autour de moi et ils avaient confiance en moi. Mads Pedersen a été incroyable, il croyait probablement plus en moi que moi-même. Tous les soirs, il venait dans ma chambre pour me dire de suivre sa roue et que tout se passerait bien.
Q: Le moment est-il encore plus particulier avec la naissance pendant le Tour de votre fille, que vous avez manquée ?
R: Quand mon fils est né il y a deux ans, c’était sans doute pire puisque j’ai passé deux nuits avec lui puis j’ai dû m’en aller. Cette fois, quand le coronavirus a fait son apparition et que le Tour a été décalé, je me suis dit +c’est tout moi, avec la chance que j’ai, je vais manquer la naissance+. Mais ma femme m’a dit d’aller sur le Tour. La seule chose qu’elle m’a dit est que si elle me voyait à l’arrière du peloton, elle serait vraiment énervée.
Propos recueillis en conférence de presse
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L’Australien Richie Porte a confié savourer le « rêve absolu » qu’est son podium sur le Tour de France samedi après « tous les drames » sur son chemin, en particulier en 2017 quand il avait dû abandonner la Grande boucle après une chute lors de la 9e étape qui l’avait laissé avec deux fractures.
Q: Pensiez-vous pouvoir renverser Miguel Angel Lopez ?
R: On a toujours des doutes. C’est un super coureur. Les deux Slovènes sont sur une autre planète mais ça a été une belle bataille entre Lopez, Mikel Landa et moi. J’étais confiant dans le fait de le dépasser lors du contre-la-montre même si j’avais des doutes persistants dans un coin de ma tête. J’avais une bonne équipe autour de moi et ils avaient confiance en moi. Mads Pedersen a été incroyable, il croyait probablement plus en moi que moi-même. Tous les soirs, il venait dans ma chambre pour me dire de suivre sa roue et que tout se passerait bien.
Q: Le moment est-il encore plus particulier avec la naissance pendant le Tour de votre fille, que vous avez manquée ?
R: Quand mon fils est né il y a deux ans, c’était sans doute pire puisque j’ai passé deux nuits avec lui puis j’ai dû m’en aller. Cette fois, quand le coronavirus a fait son apparition et que le Tour a été décalé, je me suis dit +c’est tout moi, avec la chance que j’ai, je vais manquer la naissance+. Mais ma femme m’a dit d’aller sur le Tour. La seule chose qu’elle m’a dit est que si elle me voyait à l’arrière du peloton, elle serait vraiment énervée.
Propos recueillis en conférence de presse
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L’Australien Richie Porte a confié savourer le « rêve absolu » qu’est son podium sur le Tour de France samedi après « tous les drames » sur son chemin, en particulier en 2017 quand il avait dû abandonner la Grande boucle après une chute lors de la 9e étape qui l’avait laissé avec deux fractures.
Q: Pensiez-vous pouvoir renverser Miguel Angel Lopez ?
R: On a toujours des doutes. C’est un super coureur. Les deux Slovènes sont sur une autre planète mais ça a été une belle bataille entre Lopez, Mikel Landa et moi. J’étais confiant dans le fait de le dépasser lors du contre-la-montre même si j’avais des doutes persistants dans un coin de ma tête. J’avais une bonne équipe autour de moi et ils avaient confiance en moi. Mads Pedersen a été incroyable, il croyait probablement plus en moi que moi-même. Tous les soirs, il venait dans ma chambre pour me dire de suivre sa roue et que tout se passerait bien.
Q: Le moment est-il encore plus particulier avec la naissance pendant le Tour de votre fille, que vous avez manquée ?
R: Quand mon fils est né il y a deux ans, c’était sans doute pire puisque j’ai passé deux nuits avec lui puis j’ai dû m’en aller. Cette fois, quand le coronavirus a fait son apparition et que le Tour a été décalé, je me suis dit +c’est tout moi, avec la chance que j’ai, je vais manquer la naissance+. Mais ma femme m’a dit d’aller sur le Tour. La seule chose qu’elle m’a dit est que si elle me voyait à l’arrière du peloton, elle serait vraiment énervée.
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L’Australien Richie Porte a confié savourer le « rêve absolu » qu’est son podium sur le Tour de France samedi après « tous les drames » sur son chemin, en particulier en 2017 quand il avait dû abandonner la Grande boucle après une chute lors de la 9e étape qui l’avait laissé avec deux fractures.
Q: Pensiez-vous pouvoir renverser Miguel Angel Lopez ?
R: On a toujours des doutes. C’est un super coureur. Les deux Slovènes sont sur une autre planète mais ça a été une belle bataille entre Lopez, Mikel Landa et moi. J’étais confiant dans le fait de le dépasser lors du contre-la-montre même si j’avais des doutes persistants dans un coin de ma tête. J’avais une bonne équipe autour de moi et ils avaient confiance en moi. Mads Pedersen a été incroyable, il croyait probablement plus en moi que moi-même. Tous les soirs, il venait dans ma chambre pour me dire de suivre sa roue et que tout se passerait bien.
Q: Le moment est-il encore plus particulier avec la naissance pendant le Tour de votre fille, que vous avez manquée ?
R: Quand mon fils est né il y a deux ans, c’était sans doute pire puisque j’ai passé deux nuits avec lui puis j’ai dû m’en aller. Cette fois, quand le coronavirus a fait son apparition et que le Tour a été décalé, je me suis dit +c’est tout moi, avec la chance que j’ai, je vais manquer la naissance+. Mais ma femme m’a dit d’aller sur le Tour. La seule chose qu’elle m’a dit est que si elle me voyait à l’arrière du peloton, elle serait vraiment énervée.
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L’Australien Richie Porte a confié savourer le « rêve absolu » qu’est son podium sur le Tour de France samedi après « tous les drames » sur son chemin, en particulier en 2017 quand il avait dû abandonner la Grande boucle après une chute lors de la 9e étape qui l’avait laissé avec deux fractures.
Q: Pensiez-vous pouvoir renverser Miguel Angel Lopez ?
R: On a toujours des doutes. C’est un super coureur. Les deux Slovènes sont sur une autre planète mais ça a été une belle bataille entre Lopez, Mikel Landa et moi. J’étais confiant dans le fait de le dépasser lors du contre-la-montre même si j’avais des doutes persistants dans un coin de ma tête. J’avais une bonne équipe autour de moi et ils avaient confiance en moi. Mads Pedersen a été incroyable, il croyait probablement plus en moi que moi-même. Tous les soirs, il venait dans ma chambre pour me dire de suivre sa roue et que tout se passerait bien.
Q: Le moment est-il encore plus particulier avec la naissance pendant le Tour de votre fille, que vous avez manquée ?
R: Quand mon fils est né il y a deux ans, c’était sans doute pire puisque j’ai passé deux nuits avec lui puis j’ai dû m’en aller. Cette fois, quand le coronavirus a fait son apparition et que le Tour a été décalé, je me suis dit +c’est tout moi, avec la chance que j’ai, je vais manquer la naissance+. Mais ma femme m’a dit d’aller sur le Tour. La seule chose qu’elle m’a dit est que si elle me voyait à l’arrière du peloton, elle serait vraiment énervée.
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L’Australien Richie Porte a confié savourer le « rêve absolu » qu’est son podium sur le Tour de France samedi après « tous les drames » sur son chemin, en particulier en 2017 quand il avait dû abandonner la Grande boucle après une chute lors de la 9e étape qui l’avait laissé avec deux fractures.
Q: Pensiez-vous pouvoir renverser Miguel Angel Lopez ?
R: On a toujours des doutes. C’est un super coureur. Les deux Slovènes sont sur une autre planète mais ça a été une belle bataille entre Lopez, Mikel Landa et moi. J’étais confiant dans le fait de le dépasser lors du contre-la-montre même si j’avais des doutes persistants dans un coin de ma tête. J’avais une bonne équipe autour de moi et ils avaient confiance en moi. Mads Pedersen a été incroyable, il croyait probablement plus en moi que moi-même. Tous les soirs, il venait dans ma chambre pour me dire de suivre sa roue et que tout se passerait bien.
Q: Le moment est-il encore plus particulier avec la naissance pendant le Tour de votre fille, que vous avez manquée ?
R: Quand mon fils est né il y a deux ans, c’était sans doute pire puisque j’ai passé deux nuits avec lui puis j’ai dû m’en aller. Cette fois, quand le coronavirus a fait son apparition et que le Tour a été décalé, je me suis dit +c’est tout moi, avec la chance que j’ai, je vais manquer la naissance+. Mais ma femme m’a dit d’aller sur le Tour. La seule chose qu’elle m’a dit est que si elle me voyait à l’arrière du peloton, elle serait vraiment énervée.
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