Citant un communiqué des autorités pénitentiaires à Téhéran, l’agence a démenti mercredi soir des informations du journal britannique The Guardian selon lesquelles la chercheuse Kylie Moore-Gilbert était malade. La rencontre prévue avec l’ambassadeur « prouve que cette information est erronée », a ajouté Irna.
Mme Moore-Gilbert est « en parfaite santé, et selon des arrangements convenus précédemment, l’ambassadeur d’Australie la verra la semaine prochaine », a indiqué l’agence.
Une source diplomatique a confirmé jeudi à l’AFP à Téhéran qu’une rencontre à la prison Qarchak, au sud-ouest de Téhéran, doit avoir lieu la semaine prochaines.
Selon le journal iranien Hamshahri, la chercheuse a été transférée dimanche de la prison d’Evine, à Téhéran, à celle de Qarchak dimanche dernier.
En mai, les autorités iraniennes avaient déjà affirmé que la chercheuse était en « bonne santé » après que des défenseurs des droits humains en Iran avaient affirmé qu’elle avait tenté de mettre fin à ses jours. A l’époque, sa famille avait assuré avoir parlé à Mme Moore-Gilbert qui, selon elle, « a démenti avoir tenté de se suicider ou avoir été torturée ».
Professeure en études islamiques à l’Université de Melbourne, Mme Moore-Gilbert a été condamnée en Iran à dix ans de prison pour espionnage. Son arrestation avait été confirmée en septembre 2019 mais, selon sa famille, elle a été incarcérée plusieurs mois auparavant. Elle a toujours nié être une espionne.
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Citant un communiqué des autorités pénitentiaires à Téhéran, l’agence a démenti mercredi soir des informations du journal britannique The Guardian selon lesquelles la chercheuse Kylie Moore-Gilbert était malade. La rencontre prévue avec l’ambassadeur « prouve que cette information est erronée », a ajouté Irna.
Mme Moore-Gilbert est « en parfaite santé, et selon des arrangements convenus précédemment, l’ambassadeur d’Australie la verra la semaine prochaine », a indiqué l’agence.
Une source diplomatique a confirmé jeudi à l’AFP à Téhéran qu’une rencontre à la prison Qarchak, au sud-ouest de Téhéran, doit avoir lieu la semaine prochaines.
Selon le journal iranien Hamshahri, la chercheuse a été transférée dimanche de la prison d’Evine, à Téhéran, à celle de Qarchak dimanche dernier.
En mai, les autorités iraniennes avaient déjà affirmé que la chercheuse était en « bonne santé » après que des défenseurs des droits humains en Iran avaient affirmé qu’elle avait tenté de mettre fin à ses jours. A l’époque, sa famille avait assuré avoir parlé à Mme Moore-Gilbert qui, selon elle, « a démenti avoir tenté de se suicider ou avoir été torturée ».
Professeure en études islamiques à l’Université de Melbourne, Mme Moore-Gilbert a été condamnée en Iran à dix ans de prison pour espionnage. Son arrestation avait été confirmée en septembre 2019 mais, selon sa famille, elle a été incarcérée plusieurs mois auparavant. Elle a toujours nié être une espionne.
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Citant un communiqué des autorités pénitentiaires à Téhéran, l’agence a démenti mercredi soir des informations du journal britannique The Guardian selon lesquelles la chercheuse Kylie Moore-Gilbert était malade. La rencontre prévue avec l’ambassadeur « prouve que cette information est erronée », a ajouté Irna.
Mme Moore-Gilbert est « en parfaite santé, et selon des arrangements convenus précédemment, l’ambassadeur d’Australie la verra la semaine prochaine », a indiqué l’agence.
Une source diplomatique a confirmé jeudi à l’AFP à Téhéran qu’une rencontre à la prison Qarchak, au sud-ouest de Téhéran, doit avoir lieu la semaine prochaines.
Selon le journal iranien Hamshahri, la chercheuse a été transférée dimanche de la prison d’Evine, à Téhéran, à celle de Qarchak dimanche dernier.
En mai, les autorités iraniennes avaient déjà affirmé que la chercheuse était en « bonne santé » après que des défenseurs des droits humains en Iran avaient affirmé qu’elle avait tenté de mettre fin à ses jours. A l’époque, sa famille avait assuré avoir parlé à Mme Moore-Gilbert qui, selon elle, « a démenti avoir tenté de se suicider ou avoir été torturée ».
Professeure en études islamiques à l’Université de Melbourne, Mme Moore-Gilbert a été condamnée en Iran à dix ans de prison pour espionnage. Son arrestation avait été confirmée en septembre 2019 mais, selon sa famille, elle a été incarcérée plusieurs mois auparavant. Elle a toujours nié être une espionne.
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Citant un communiqué des autorités pénitentiaires à Téhéran, l’agence a démenti mercredi soir des informations du journal britannique The Guardian selon lesquelles la chercheuse Kylie Moore-Gilbert était malade. La rencontre prévue avec l’ambassadeur « prouve que cette information est erronée », a ajouté Irna.
Mme Moore-Gilbert est « en parfaite santé, et selon des arrangements convenus précédemment, l’ambassadeur d’Australie la verra la semaine prochaine », a indiqué l’agence.
Une source diplomatique a confirmé jeudi à l’AFP à Téhéran qu’une rencontre à la prison Qarchak, au sud-ouest de Téhéran, doit avoir lieu la semaine prochaines.
Selon le journal iranien Hamshahri, la chercheuse a été transférée dimanche de la prison d’Evine, à Téhéran, à celle de Qarchak dimanche dernier.
En mai, les autorités iraniennes avaient déjà affirmé que la chercheuse était en « bonne santé » après que des défenseurs des droits humains en Iran avaient affirmé qu’elle avait tenté de mettre fin à ses jours. A l’époque, sa famille avait assuré avoir parlé à Mme Moore-Gilbert qui, selon elle, « a démenti avoir tenté de se suicider ou avoir été torturée ».
Professeure en études islamiques à l’Université de Melbourne, Mme Moore-Gilbert a été condamnée en Iran à dix ans de prison pour espionnage. Son arrestation avait été confirmée en septembre 2019 mais, selon sa famille, elle a été incarcérée plusieurs mois auparavant. Elle a toujours nié être une espionne.
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Citant un communiqué des autorités pénitentiaires à Téhéran, l’agence a démenti mercredi soir des informations du journal britannique The Guardian selon lesquelles la chercheuse Kylie Moore-Gilbert était malade. La rencontre prévue avec l’ambassadeur « prouve que cette information est erronée », a ajouté Irna.
Mme Moore-Gilbert est « en parfaite santé, et selon des arrangements convenus précédemment, l’ambassadeur d’Australie la verra la semaine prochaine », a indiqué l’agence.
Une source diplomatique a confirmé jeudi à l’AFP à Téhéran qu’une rencontre à la prison Qarchak, au sud-ouest de Téhéran, doit avoir lieu la semaine prochaines.
Selon le journal iranien Hamshahri, la chercheuse a été transférée dimanche de la prison d’Evine, à Téhéran, à celle de Qarchak dimanche dernier.
En mai, les autorités iraniennes avaient déjà affirmé que la chercheuse était en « bonne santé » après que des défenseurs des droits humains en Iran avaient affirmé qu’elle avait tenté de mettre fin à ses jours. A l’époque, sa famille avait assuré avoir parlé à Mme Moore-Gilbert qui, selon elle, « a démenti avoir tenté de se suicider ou avoir été torturée ».
Professeure en études islamiques à l’Université de Melbourne, Mme Moore-Gilbert a été condamnée en Iran à dix ans de prison pour espionnage. Son arrestation avait été confirmée en septembre 2019 mais, selon sa famille, elle a été incarcérée plusieurs mois auparavant. Elle a toujours nié être une espionne.
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Citant un communiqué des autorités pénitentiaires à Téhéran, l’agence a démenti mercredi soir des informations du journal britannique The Guardian selon lesquelles la chercheuse Kylie Moore-Gilbert était malade. La rencontre prévue avec l’ambassadeur « prouve que cette information est erronée », a ajouté Irna.
Mme Moore-Gilbert est « en parfaite santé, et selon des arrangements convenus précédemment, l’ambassadeur d’Australie la verra la semaine prochaine », a indiqué l’agence.
Une source diplomatique a confirmé jeudi à l’AFP à Téhéran qu’une rencontre à la prison Qarchak, au sud-ouest de Téhéran, doit avoir lieu la semaine prochaines.
Selon le journal iranien Hamshahri, la chercheuse a été transférée dimanche de la prison d’Evine, à Téhéran, à celle de Qarchak dimanche dernier.
En mai, les autorités iraniennes avaient déjà affirmé que la chercheuse était en « bonne santé » après que des défenseurs des droits humains en Iran avaient affirmé qu’elle avait tenté de mettre fin à ses jours. A l’époque, sa famille avait assuré avoir parlé à Mme Moore-Gilbert qui, selon elle, « a démenti avoir tenté de se suicider ou avoir été torturée ».
Professeure en études islamiques à l’Université de Melbourne, Mme Moore-Gilbert a été condamnée en Iran à dix ans de prison pour espionnage. Son arrestation avait été confirmée en septembre 2019 mais, selon sa famille, elle a été incarcérée plusieurs mois auparavant. Elle a toujours nié être une espionne.
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Citant un communiqué des autorités pénitentiaires à Téhéran, l’agence a démenti mercredi soir des informations du journal britannique The Guardian selon lesquelles la chercheuse Kylie Moore-Gilbert était malade. La rencontre prévue avec l’ambassadeur « prouve que cette information est erronée », a ajouté Irna.
Mme Moore-Gilbert est « en parfaite santé, et selon des arrangements convenus précédemment, l’ambassadeur d’Australie la verra la semaine prochaine », a indiqué l’agence.
Une source diplomatique a confirmé jeudi à l’AFP à Téhéran qu’une rencontre à la prison Qarchak, au sud-ouest de Téhéran, doit avoir lieu la semaine prochaines.
Selon le journal iranien Hamshahri, la chercheuse a été transférée dimanche de la prison d’Evine, à Téhéran, à celle de Qarchak dimanche dernier.
En mai, les autorités iraniennes avaient déjà affirmé que la chercheuse était en « bonne santé » après que des défenseurs des droits humains en Iran avaient affirmé qu’elle avait tenté de mettre fin à ses jours. A l’époque, sa famille avait assuré avoir parlé à Mme Moore-Gilbert qui, selon elle, « a démenti avoir tenté de se suicider ou avoir été torturée ».
Professeure en études islamiques à l’Université de Melbourne, Mme Moore-Gilbert a été condamnée en Iran à dix ans de prison pour espionnage. Son arrestation avait été confirmée en septembre 2019 mais, selon sa famille, elle a été incarcérée plusieurs mois auparavant. Elle a toujours nié être une espionne.
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Citant un communiqué des autorités pénitentiaires à Téhéran, l’agence a démenti mercredi soir des informations du journal britannique The Guardian selon lesquelles la chercheuse Kylie Moore-Gilbert était malade. La rencontre prévue avec l’ambassadeur « prouve que cette information est erronée », a ajouté Irna.
Mme Moore-Gilbert est « en parfaite santé, et selon des arrangements convenus précédemment, l’ambassadeur d’Australie la verra la semaine prochaine », a indiqué l’agence.
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Selon le journal iranien Hamshahri, la chercheuse a été transférée dimanche de la prison d’Evine, à Téhéran, à celle de Qarchak dimanche dernier.
En mai, les autorités iraniennes avaient déjà affirmé que la chercheuse était en « bonne santé » après que des défenseurs des droits humains en Iran avaient affirmé qu’elle avait tenté de mettre fin à ses jours. A l’époque, sa famille avait assuré avoir parlé à Mme Moore-Gilbert qui, selon elle, « a démenti avoir tenté de se suicider ou avoir été torturée ».
Professeure en études islamiques à l’Université de Melbourne, Mme Moore-Gilbert a été condamnée en Iran à dix ans de prison pour espionnage. Son arrestation avait été confirmée en septembre 2019 mais, selon sa famille, elle a été incarcérée plusieurs mois auparavant. Elle a toujours nié être une espionne.
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